Chant lyrique
Contrairement à l’annonce précédente, le programme sera finalement autour d’un autre grand cycle de lieder de Schubert, « Le Chant du Cygne ».
« Le Chant du Cygne » correspond au dernier chant tragique et éloquent du cygne d’Apollon avant de disparaître. Et cela restera comme la dernière composition du génial Franz Schubert en 1828. Ce cycle est comme le bouquet final d’un feu d’artifice, un tourbillon d’émotions entre lieder légers, dramatiques ou hallucinés et entre styles musicaux passant de la mélancolie, au lyrisme ou à la légèreté, comme on saute d’une idée à une autre avec grande aisance quand la fièvre nous prend. Pour les porter, l’un des plus importants représentants du lied allemand, le baryton Matthias Goerne, accompagné du pianiste autrichien, directeur des festivals de Vienne et de Salzbourg, Markus Hinterhäuser
Schubert – Schwanengesang, D957, chansons d’après des poèmes de Ludwig Rellstab
Schumann – Ausgewählte Lieder
Schubert – Schwanengesang, D957, chansons d’après des poèmes de Heinrich Heine