Chant lyrique
En pleine nature, un jeune homme marche le long d’un ruisseau et tombe amoureux d’une ravissante meunière. Il est empreint d’une profonde tristesse lorsqu’il découvre qu’elle en aime un autre que lui. Le pauvre apprenti meunier se noie de chagrin et de désespoir.
L’églogue à l’heure du romantisme selon Schubert qui met ici en musique des poèmes de Wilhelm Müller dans une vingtaine de tableaux, chacun évoquant un sentiment particulier. L'amour, l'espoir, la déception, la tristesse, la mort, la quête personnelle, le voyage, la nature, sont les thèmes phares et typiquement romantiques de ce cycle de lieder composé de mai à décembre 1823. Pour les porter, l’un des plus éminents représentants du lied allemand, le baryton Matthias Goerne, accompagné du pianiste Alexander Schmalcz qui a eu la gentillesse de remplacer Markus Hinterhäuser, souffrant.
Schubert – Die schöne Müllerin, D795 op.25 Nr.1-20,
chansons d’après des poèmes de Wilhelm Müller